J'ai aussi fait des essais comparatifs entre préampli intégré et préampli externe, par exemple celui-ci où les micros sont des Avenson STO-2 assez peu sensibles pour des micros à condensateurs, donc demandent plutôt plus de gain que les autres. On reconnaît assez facilement (quoique pour un auditeur lambda c'est pas si évident) l'imprécision de la mixette Behringer MX802A, qui à l'époque était vendue 70 € pour 6 canaux dont 4 avec préampli (+ EQ etc.), ce qui fait vraiment pas cher le préampli, la coloration tube du Behringer Ultragain 2200 , mais les trois autres, c'est plus serré : les préamplis intégrés de l'interface Edirol FA-66 (que j'ai revendu 130 € + 8 € de frais port en parfait état), Focusrite TwinTrak (double tranche de console, égalisation, compression, etc.) que j'ai revendu aussi car je n'entendais pas de différence avec l'Edirol, et le DAV Electronics BG1, un des meilleurs préamplis pour la musique classique.microsinfonia a écrit :Je te rejoins sur tes commentaires, mais je nuancerai le rôle du préampli.
Et plus récemment un test comparatif entre les préamplis intégrés de la Fireface 400 (meilleurs que ceux de la 800; identiques à ceux de l'UC et de l'UFX) et un Fearn VT-2 (le meilleur préampli au monde ? Certains le disent.) avec des Beyer M130, micros à ruban très peu sensibles ; le gain du Fearn est au maxi. Il y a un répartiteur actif de microphones sans gain entre les micros et les 2 préamplis :
Fireface 400
Fearn VT-2
Tu nuancerais sur le rôle du préampli ? Moi je dis que ce rôle est dans la nuance <<plus subtile que moi, tu meurs!>>.
Il faut mettre la plus grande part possible de son budget dans les micros !