le piano bien spontané
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- Enregistré le : sam. 07 juil., 2007 13:12
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le piano bien spontané
Salut à tous
Moi c'est Martial, et je viens de m'inscrire au forum.
J'aimerais un conseil ou même une foulitude de conseils
Voilà j'ai fait du piano de l'âge de 10 ans à l'âge de 22-23 ans.
Concours divers etc.
Globalement je suis loin d'être un virtuose mais en travaillant un peu
je pourrais retrouver mon niveau d'il y a 20 ans. C'est à dire jouer à peu
prêt correctemment la première ballade de Chopin. Ce qui
est une vraie montagne pour moi. Mais mon vrai problème n'est pas là.
Bref ce qui m'intéresse et m'agace depuis des années, c'est
d'avoir longtemps été incapable de jouer spontanément des musiques basiques
de chansons françaises ou rock de tout type.
Des copains qui jouaient dans des groupes de rock me proposait
de jouer souvent avec eux. Alors j'ai essayé. Et toujours le même problème.
Tout est simple en rock mais même le super simple accessible aux débutants autodidactes
mettait difficile à jouer. Difficile à jouer dans le sens de faire "sonner" ou d'avoir un bon "groove". C'était pourtant
techniquement plus que simple.
Au final, un copain (très philosophe) m'a dit avoir fait d'énorme progrès en musique le jour
ou il a décidé de se lancer dans un répertoire sans prétention. A savoir de la chanson française
des reprises de "star wars" au yukulélé etc, etc. Surtout ne pas essayer de se surpassé et éviter tout
jeu qui pourrait ressembler de près ou de loin à de la performance.
Donc voilà, j'ai décidé de suivre son exemple et j'ai acheté le "best de la chanson française" : un
livret pour chanteur de communion, fêtes de famille et mariages où il n'y a que les paroles
et accords de guitare.
Pour le coup l'harmonie me parle un peu plus et j'ai l'impression que la méthode de mon pôte
peut marcher. J'en suis au début.
Quelqu'un aurait-il d'autres conseils dans le domaine.
Avec du recul, je me rends compte que l'enseignement du piano que j'ai eu au conservatoire
revenait à imposer à un gamin la maîtrise de la grammaire et de l'écrit avant d'obtenir le droit
de prononcer le moindre mot. Au final, on finit par parler comme dans un livre : très ennuyeux.
Personnellement je préfère largement le langue des conteurs, slameurs et rappeurs en tout genre, même
si dans un autre registre j'adore aussi la littérature... sur le papier.
Merci pour quelques pistes possibles
Moi c'est Martial, et je viens de m'inscrire au forum.
J'aimerais un conseil ou même une foulitude de conseils
Voilà j'ai fait du piano de l'âge de 10 ans à l'âge de 22-23 ans.
Concours divers etc.
Globalement je suis loin d'être un virtuose mais en travaillant un peu
je pourrais retrouver mon niveau d'il y a 20 ans. C'est à dire jouer à peu
prêt correctemment la première ballade de Chopin. Ce qui
est une vraie montagne pour moi. Mais mon vrai problème n'est pas là.
Bref ce qui m'intéresse et m'agace depuis des années, c'est
d'avoir longtemps été incapable de jouer spontanément des musiques basiques
de chansons françaises ou rock de tout type.
Des copains qui jouaient dans des groupes de rock me proposait
de jouer souvent avec eux. Alors j'ai essayé. Et toujours le même problème.
Tout est simple en rock mais même le super simple accessible aux débutants autodidactes
mettait difficile à jouer. Difficile à jouer dans le sens de faire "sonner" ou d'avoir un bon "groove". C'était pourtant
techniquement plus que simple.
Au final, un copain (très philosophe) m'a dit avoir fait d'énorme progrès en musique le jour
ou il a décidé de se lancer dans un répertoire sans prétention. A savoir de la chanson française
des reprises de "star wars" au yukulélé etc, etc. Surtout ne pas essayer de se surpassé et éviter tout
jeu qui pourrait ressembler de près ou de loin à de la performance.
Donc voilà, j'ai décidé de suivre son exemple et j'ai acheté le "best de la chanson française" : un
livret pour chanteur de communion, fêtes de famille et mariages où il n'y a que les paroles
et accords de guitare.
Pour le coup l'harmonie me parle un peu plus et j'ai l'impression que la méthode de mon pôte
peut marcher. J'en suis au début.
Quelqu'un aurait-il d'autres conseils dans le domaine.
Avec du recul, je me rends compte que l'enseignement du piano que j'ai eu au conservatoire
revenait à imposer à un gamin la maîtrise de la grammaire et de l'écrit avant d'obtenir le droit
de prononcer le moindre mot. Au final, on finit par parler comme dans un livre : très ennuyeux.
Personnellement je préfère largement le langue des conteurs, slameurs et rappeurs en tout genre, même
si dans un autre registre j'adore aussi la littérature... sur le papier.
Merci pour quelques pistes possibles
"y'a quelqu'un qui fait du piano dans un avion" (ma fille)
Re: le piano bien spontané
Je comprend assez bien ta problématique, Martial.
même au jury d'examen !. Comme quoi c'est pas une fatalité, cette subordination artistique.
C'est un terrain d'expérience passionnant de prendre des répertoires multiples, de se les recréer, réarranger,
harmoniser, etc... Un des mes amis m'avait convertit à ses Chapell Hits (de mémoire), des recueils de standard
que lui enchainanait avec brio et avec qques vagues, deux voire trois ans, de piano (il n'utilisait même pas le pouce de la main gauche et plaquait les accords avec les trois doigts 4-3-2 !). Mais quand on est né doué pour la musique on arrive
par tout les moyens ! J'avoue que j'adore toujours arranger des chansons de music hall (Brel, Brassens, Gainsbourg...), voire des "chansons à boire" au piano, d'oreille. - le Rock, çà je peux pas, (même si j'ai fait parti d'un groupe rock) quand au Rapp, ...
Reste que je pense, que le diagnostic de ton copain est un peu trop radical.
de remettre en question dans nos formation classique "à l'ancienne".
Donc je vois pas d'issue dans cette opposition qui tourne en rond.
Qui peut le plus, peut le moins et je reste convaincu qu'une formation classique est un plus au regard
d'un rapp, slam, ou autre barbarisme conjoncturel. Tout est dans la façon dont on décide de la vivre, et ça aussi
(surtout ?) celà se travaille.
On peut se distancier de la littérature quand on a lu, si possible beaucoup. Dans le cas contraire... le conteur bavarde.
On est sans doute qques un(e)s a avoir vécu celà. Mais moi, j'arrivais déjà, ado, à imposer mes compos à mes profs,Avec du recul, je me rends compte que l'enseignement du piano que j'ai eu au conservatoire
revenait à imposer à un gamin la maîtrise de la grammaire et de l'écrit avant d'obtenir le droit
de prononcer le moindre mot.
même au jury d'examen !. Comme quoi c'est pas une fatalité, cette subordination artistique.
C'est un terrain d'expérience passionnant de prendre des répertoires multiples, de se les recréer, réarranger,
harmoniser, etc... Un des mes amis m'avait convertit à ses Chapell Hits (de mémoire), des recueils de standard
que lui enchainanait avec brio et avec qques vagues, deux voire trois ans, de piano (il n'utilisait même pas le pouce de la main gauche et plaquait les accords avec les trois doigts 4-3-2 !). Mais quand on est né doué pour la musique on arrive
par tout les moyens ! J'avoue que j'adore toujours arranger des chansons de music hall (Brel, Brassens, Gainsbourg...), voire des "chansons à boire" au piano, d'oreille. - le Rock, çà je peux pas, (même si j'ai fait parti d'un groupe rock) quand au Rapp, ...
Reste que je pense, que le diagnostic de ton copain est un peu trop radical.
Là on sort de l'ouverture pour entrer dans le jugement de valeur, or c'est précisément ce qu'il convennaitSurtout ne pas essayer de se surpassé et éviter tout
jeu qui pourrait ressembler de près ou de loin à de la performance.
... Au final, on finit par parler comme dans un livre : très ennuyeux.
de remettre en question dans nos formation classique "à l'ancienne".
Donc je vois pas d'issue dans cette opposition qui tourne en rond.
Qui peut le plus, peut le moins et je reste convaincu qu'une formation classique est un plus au regard
d'un rapp, slam, ou autre barbarisme conjoncturel. Tout est dans la façon dont on décide de la vivre, et ça aussi
(surtout ?) celà se travaille.
On peut se distancier de la littérature quand on a lu, si possible beaucoup. Dans le cas contraire... le conteur bavarde.
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Re: le piano bien spontané
Mon but n'est évidemment pas de laisser de côté tous les classiques que j'adore.
Mon but c'est d'aller aussi voir ailleurs pour avoir une approche du clavier on va dire
moins réfléchie et plus intuitive. Par exemple, j'ai un copain avec qui je devrais
essayer de jouer bientôt (il fait dans le post rock progressif). Et bien lui il ne
connais rien, même pas les grilles d'accord guitare. Tu lui demandes un accord "lam" par
exemple et bien il ne sait pas ce que c'est. Par contre, il connait son manche
de guitare par coeur, il peut accompagné n'importe qui à l'écoute, compose et
improvise super bien.
Pour ce qui est de la littérature, je suis un fan de Henri Michaux et j'ai eu le malheur
une fois d'entendre un comédien lire du Henri Michaux. J'ai été très déçu. Ce qui est
écrit ne sonne pas forcément à haute voix.
C'est la différente entre l'oral et la littérature. L'un doit être dit et l'autre doit être lu.
Pour ma part, j'aime les deux.
Mon but c'est d'aller aussi voir ailleurs pour avoir une approche du clavier on va dire
moins réfléchie et plus intuitive. Par exemple, j'ai un copain avec qui je devrais
essayer de jouer bientôt (il fait dans le post rock progressif). Et bien lui il ne
connais rien, même pas les grilles d'accord guitare. Tu lui demandes un accord "lam" par
exemple et bien il ne sait pas ce que c'est. Par contre, il connait son manche
de guitare par coeur, il peut accompagné n'importe qui à l'écoute, compose et
improvise super bien.
Pour ce qui est de la littérature, je suis un fan de Henri Michaux et j'ai eu le malheur
une fois d'entendre un comédien lire du Henri Michaux. J'ai été très déçu. Ce qui est
écrit ne sonne pas forcément à haute voix.
C'est la différente entre l'oral et la littérature. L'un doit être dit et l'autre doit être lu.
Pour ma part, j'aime les deux.
"y'a quelqu'un qui fait du piano dans un avion" (ma fille)
Re: le piano bien spontané
Et bé, du post rock progressif rien que ça autant je connaissais le post rock et le rock progressif mais les deux en même temps je savais pas que c'était possible...
Mais en tout cas pour en venir à ton sujet de départ, je suis pas certain que le fait de suivre une formation dite "classique" au piano ou dans quelque autre instrument que ce soit soit un frein à l'improvisation. Je pense que la seule différence entre par exemple ton ami qui improvise et quelqu'un qui ferait la même chose après une formation classique et simplement que celui qui a suivi une formation mettra des noms sur ces qu'il improvise, aura une approche put être plus intellectualisée d'une certaine manière car il "saura" ce qu'il joue. Avant, je faisais de la guitare, et mon prof lui jouait dans une formation de jazz manouche, donc essentiellement en impro, et pourtant il avait suivi de très nombreuses années de formation, mais justement ce qui lui permettait de pouvoir improviser instictivement c'est qu'il connaissait parfaitement toutes ses gammes ses arpèges, ses modes etc.
Et pour en revenir à ton ami par exemple, déjà je ne pense pas qu'il est arrivé à ce niveau du jour au lendemain, il a logiquement beaucoup gratouillé au hasard, et a finit lui aussi, sans le savoir à maitriser parfaitement toutes ces choses aussi sauf qu'il ne le sait pas,mais ça revient au même pour moi. Et d'ailleurs si tu prends l'exemple du groupe de rock prog le plus connu qu'est, et réputé comme le plus virtuose, le plus à la pointe qu'est Dream Theater, il a été formé par des élèves du Berklee College of Music donc bon... Il n'y a pas de vérité, mais je pense que dans tous les cas, la capacité à improviser, à avoir une approche intuitive de la musique, et ben ça ne s'improvise pas !
Mais en tout cas pour en venir à ton sujet de départ, je suis pas certain que le fait de suivre une formation dite "classique" au piano ou dans quelque autre instrument que ce soit soit un frein à l'improvisation. Je pense que la seule différence entre par exemple ton ami qui improvise et quelqu'un qui ferait la même chose après une formation classique et simplement que celui qui a suivi une formation mettra des noms sur ces qu'il improvise, aura une approche put être plus intellectualisée d'une certaine manière car il "saura" ce qu'il joue. Avant, je faisais de la guitare, et mon prof lui jouait dans une formation de jazz manouche, donc essentiellement en impro, et pourtant il avait suivi de très nombreuses années de formation, mais justement ce qui lui permettait de pouvoir improviser instictivement c'est qu'il connaissait parfaitement toutes ses gammes ses arpèges, ses modes etc.
Et pour en revenir à ton ami par exemple, déjà je ne pense pas qu'il est arrivé à ce niveau du jour au lendemain, il a logiquement beaucoup gratouillé au hasard, et a finit lui aussi, sans le savoir à maitriser parfaitement toutes ces choses aussi sauf qu'il ne le sait pas,mais ça revient au même pour moi. Et d'ailleurs si tu prends l'exemple du groupe de rock prog le plus connu qu'est, et réputé comme le plus virtuose, le plus à la pointe qu'est Dream Theater, il a été formé par des élèves du Berklee College of Music donc bon... Il n'y a pas de vérité, mais je pense que dans tous les cas, la capacité à improviser, à avoir une approche intuitive de la musique, et ben ça ne s'improvise pas !
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Re: le piano bien spontané
ça ressemble à quoi du post rock progressif ? moi j'en étais resté au rock progressif genre king krimson
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Re: le piano bien spontané
en fait le post rock progressif c'est tout simplement l'après
rock progressif. Donc "post" rock progressif. Au bout d'un moment
c'est sûr que l'accumulation de "post" et "néo" en tout genres
finit par donner une succession de termes un peu lourde
Mais bon, l'essentiel c'est que ce qui est derrière sonne bien !
rock progressif. Donc "post" rock progressif. Au bout d'un moment
c'est sûr que l'accumulation de "post" et "néo" en tout genres
finit par donner une succession de termes un peu lourde
Mais bon, l'essentiel c'est que ce qui est derrière sonne bien !
"y'a quelqu'un qui fait du piano dans un avion" (ma fille)
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Re: le piano bien spontané
Même si ton postulat de ne travailler que des morceaux simples me parait excessif, je suis assez d'accord avec toi sur un point : l'enseignement du classique aujourd'hui à un peu tendance à être trop systèmatique et à commencer par les mauvaises choses. Comme tu dis, on enseigne les lettres, puis la grammaire, en oubliant de parler.
Mais à mon sens, c'est dans le pire des cas juste une perte d'efficacité, dire qu'on ne peut pas apprendre la musique par ce biais me paraît faux. Et je ne pense pas que la solution soit nécessairement de passer par des morceaux de variété. Par contre, de plus travailler l'écoute, l'analyse des morceaux, que ça soit théorique mais aussi et surtout auditif, me semblent assez importants. Mais ça peut aussi se faire sur du classique.
Mais à mon sens, c'est dans le pire des cas juste une perte d'efficacité, dire qu'on ne peut pas apprendre la musique par ce biais me paraît faux. Et je ne pense pas que la solution soit nécessairement de passer par des morceaux de variété. Par contre, de plus travailler l'écoute, l'analyse des morceaux, que ça soit théorique mais aussi et surtout auditif, me semblent assez importants. Mais ça peut aussi se faire sur du classique.
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Re: le piano bien spontané
Merci pour ta compréhension.
En fait je n'ai pas du tout envie d'oublier le classique et toutes les
points d'appuis ou références que j'ai appris auparavant.
Le passage par des chansons très simples de "variété" ou autres m'a
paru intéressant pour partir d'un point de départ et pour éviter la
confusion ou l'éparpillement. C'est juste une méthode que j'essaye de m'imposer.
Au bout de quinze jours de cette méthode je trouve çà plus bien parce que maintenant
je commence (toujours sur le principe de grille d'accords de guitare) à m'amuser
à reprendre la construction harmonique de sonates de Beethov. Je me retrouve avec
une grillle d'accord et là je m'amuse vraiment. Ce n'est pas encore parfait, mais j'y travaille
aujourd'hui au moins 6 heures par jours.
Il n'y a pas longtemps je ne faisais que cinq minutes de piano de temps en temps dans la semaine.
Maintenant je me fais vraiment plaisir. Il faut dire aussi que je viens pour la première fois d'acheter un vrai piano. Un Steinberg IQ28.
En fait je n'ai pas du tout envie d'oublier le classique et toutes les
points d'appuis ou références que j'ai appris auparavant.
Le passage par des chansons très simples de "variété" ou autres m'a
paru intéressant pour partir d'un point de départ et pour éviter la
confusion ou l'éparpillement. C'est juste une méthode que j'essaye de m'imposer.
Au bout de quinze jours de cette méthode je trouve çà plus bien parce que maintenant
je commence (toujours sur le principe de grille d'accords de guitare) à m'amuser
à reprendre la construction harmonique de sonates de Beethov. Je me retrouve avec
une grillle d'accord et là je m'amuse vraiment. Ce n'est pas encore parfait, mais j'y travaille
aujourd'hui au moins 6 heures par jours.
Il n'y a pas longtemps je ne faisais que cinq minutes de piano de temps en temps dans la semaine.
Maintenant je me fais vraiment plaisir. Il faut dire aussi que je viens pour la première fois d'acheter un vrai piano. Un Steinberg IQ28.
"y'a quelqu'un qui fait du piano dans un avion" (ma fille)
Re: le piano bien spontané
Le principal avantage de la musique "pop" c'est qu'elle est généralement simple, que ce soit techniquement ou harmoniquement, ce qui est un avantage pour un musicien qui n'a pas de connaissance théorique extraordinaire mais qui souhaite s'adonner aux joies de l'analyse, de l'arrangement (ou même de l'impro pourquoi pas).Au final, un copain (très philosophe) m'a dit avoir fait d'énorme progrès en musique le jour
ou il a décidé de se lancer dans un répertoire sans prétention. A savoir de la chanson française
des reprises de "star wars" au yukulélé etc, etc. Surtout ne pas essayer de se surpassé et éviter tout
jeu qui pourrait ressembler de près ou de loin à de la performance.
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Re: le piano bien spontané
Là je suis tout à fait d'accord. Aborder l'analyse et l'arrangement par des trucsLe principal avantage de la musique "pop" c'est qu'elle est généralement simple, que ce soit techniquement ou harmoniquement, ce qui est un avantage pour un musicien qui n'a pas de connaissance théorique extraordinaire mais qui souhaite s'adonner aux joies de l'analyse, de l'arrangement (ou même de l'impro pourquoi pas).
simples et super connus, c'est ce qu'il y a de mieux pour un néophyte. C'est extrêmement
ludique. Donc : on ne peut qu'avancer. Enfin c'est bien ce que je souhaite.
"y'a quelqu'un qui fait du piano dans un avion" (ma fille)