Ah oui je confirme la forte concurrence potentielle au sein des relations de couples, mais on a aussi notre part de responsabilité si on délaisse notre piano en début de relation. Si on sait reconnaître et exprimer nos propres besoins et que les choses sont claires dès le départ on évite cette concurrence puisque l’autre sait et expérimente tout de suite où il atterrit. Sinon le piano peut devenir une menace fantôme, d’où le « plus ressentie que factuelle » peut-être?Nick Borderline a écrit : ↑sam. 25 juin, 2022 7:17 Le piano est une priorité de vie depuis l’âge de 9 ans. Ça n’a pas aidé dans ses relations de couple car il y avait une concurrence du piano ressentie plus que factuelle.
Ça restera quand même toujours plus simple si la personne en face a aussi une passion, quelle qu’elle soit. Curieusement j’ai trouvé que sortir avec des musiciens (inclu pianistes) n’était pas forcément plus simple.
Pour la priorité ben y a effectivement des choix à faire et à assumer, en ce qui me concerne: bosser à temps partiel pour privilégier le temps à l’argent, soigner les relations et communications avec ses voisins: des petits chocolats à noël, tendre des petits services dès qu’on le peut etc…
En fait je crois que plus on assume nous même ce lien et plus ce sera facile pour les autres de nous prendre comme on est.