Super travail ! (J’ai bien aimé aussi entendre

. : tu l’avais enfermé(e) ?).
Pour revenir au scherzo, tu arrives dans les détails donc en cherchant bien, j’ai noté :
-le passage leggiero mesure 334: démarrer pp, le crescendo n’arrive que mesure 354.
-mes 358 : plus d’accent sur le mi grave, et 2 mesures plus loin, l’accord MG avec le sf plus arraché. Idem mes 460, 468, 470.
-a partir de 492: attention a la régularité des triolets avec la répétition de la dernière note sur la blanche qui suit, bien penser à finir le triolet avant d’accentuer la blanche.
-544: c’est le climax, il faut que tu te laches davantage, en attaquant les octaves “à la Liszt”, con bravura.
-Lorsque la cantilène revient en 648, peut-être un sentiment plus radieux (mais pas plus vite), l’atmosphère est plus légère désormais.
Tu joues comme cela par cœur et en public, chapeau en tout cas, c’est costaud

!