Ah, en effet elle est bien bonne celle-là! ( la main "palmée.... Ca me fait penser à l'homme de l'Atlantide", nullissime série des années 80
Mon arrêt du piano est moins brutal et pour des raisons moins extrêmes , mais il y a un peu de ça...
J'en demandais trop, trop vite...et quand je me suis aperçue que ce qui sortait de mes mains ne ressemblait que de très loin aux enregistrements que je commençais à collectionner et écouter avec passion, je me suis dit : ce n'est pas la peine, je ne suis pas "douée" ou encore : mes mains ne sont pas adaptées, pas assez de vélocité...Autant écouter des disques!
Personne dans mon entourage ne m'a encouragée à persister, il faut dire aussi que ça semblait "normal" pour tout le monde que j'arrête le piano en cours de 1ere année de Médecine! Ma prof était âgée, je ne sais même plus ce qu'elle avait dit, mais peu de réaction je crois. Mais avec un prof un peu plus impliqué qui m'aurait dit: " continue, ce serait dommage, tu as les moyens de devenir une bonne pianiste, même si tu n'as plus autant de temps pour travailler" , j'aurais continué. IL suffit de pas grand chose
Avec le recul je me rends compte que j'avais de bonnes aptitudes , que j'apprenais à 15 ans bien plus vite que maintenant ( mais moins "en profondeur" par contre) et que bien encadrée, j'aurais pu atteindre un bon niveau... ce qui n'est plus possible, hélas.
Bref: il ne faut pas "arrêter" Mettre en veilleuse, oui, arrêter, non!
La difficulté dans les cas de md c'est l'appartenance à une structure type Conservatoire où on ne garde pas des élèves inactifs bien longtemps. Mais puisque la prof est compréhensive...