La colle dominicale du 21 mai 2006
La colle dominicale du 21 mai 2006
Avec un petit retard (dû à la taille des fichiers et au vent qui était contraire au sens du téléchargement... d'ailleurs le troisième n'est pas encore entièrement téléchargé (à 13h47))
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-1.mp3
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-2.mp3
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-3.mp3
J'espère que l'attente en vaut la peine...
Voici une œuvre importante jouée par trois pianistes appartenant à trois générations différentes. Trouvez les interprètes !!
PS. Je ne dis nullement qu'il s'agit des interprétations les plus importantes de cette œuvre. Seulement qu'il s'agit de trois visions assez différentes de la même œuvre. D'ailleurs laquelle vous aimez le plus ?
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-1.mp3
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-2.mp3
http://omega.enstb.org/yannis/mp3/colle ... 5-21-3.mp3
J'espère que l'attente en vaut la peine...
Voici une œuvre importante jouée par trois pianistes appartenant à trois générations différentes. Trouvez les interprètes !!
PS. Je ne dis nullement qu'il s'agit des interprétations les plus importantes de cette œuvre. Seulement qu'il s'agit de trois visions assez différentes de la même œuvre. D'ailleurs laquelle vous aimez le plus ?
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Quelle merveille ! Mais diable!, Yannis, tu va me remmettre cette sonate en tête, moi qui, pauvre vers de terre pianistique que je suis, essais de m'interdire d'y remettre le nez... et les doigts.
J'espère que la 2eme version n'est pas par Zimmermann, ce pianiste que j'ai découverte finalement récemment avec la plus grande admiration.
J'ai même pas pu l'écouter tant elle est hors du propos.
La première me rappelle L. Bermann, mais c'est pas lui.
C'est le style qui me plait en tout cas : mesure, précision, construction solide, intimité et un certaine légèreté malgrés tout.
La troisième est un magnifique spectacle orchestral, c'est formidable, débordant. Mais trop pour moi, j'imagine pas un Erard sortir tout celà même sous les doigts de Franz en 1850 et ce décalage me gêne.
J'aurai de toute façon pas su mettre un seul nom sur ces versions.
J'espère que la 2eme version n'est pas par Zimmermann, ce pianiste que j'ai découverte finalement récemment avec la plus grande admiration.
J'ai même pas pu l'écouter tant elle est hors du propos.
La première me rappelle L. Bermann, mais c'est pas lui.
C'est le style qui me plait en tout cas : mesure, précision, construction solide, intimité et un certaine légèreté malgrés tout.
La troisième est un magnifique spectacle orchestral, c'est formidable, débordant. Mais trop pour moi, j'imagine pas un Erard sortir tout celà même sous les doigts de Franz en 1850 et ce décalage me gêne.
J'aurai de toute façon pas su mettre un seul nom sur ces versions.
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- Messages : 266
- Enregistré le : mer. 08 mars, 2006 2:25
- Mon piano : Wendl & Lung 178
- Localisation : Joinville le Pont
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Ni Pollini, ni Brendel, ni Blet [j'ai encore disque de lui], ni Zimmermann.
La première vient d'une pianiste qui a fait le conservatoire Tachïkovsky et qui a attendu bien longtemps que l'on lui donne on visa pour quitter l'URSS (elle avait, paraît-il, participé à un mouvement de résistance). Mis à part ses qualités bien identifiées par Samson, elle est également connue pour avoir un nom imprononçable.
La deuxième vient d'un pianiste de la grande époque (ce n'est pas Horowitz mais c'est tout comme) qui, dans ces vieux jours, s'est remis à enregistrer. Un dernier coffret, très varié et caractéristique de la diversité de ses choix musicaux, avant de mourir. La Sonate est issue de ce coffret.
La première vient d'une pianiste qui a fait le conservatoire Tachïkovsky et qui a attendu bien longtemps que l'on lui donne on visa pour quitter l'URSS (elle avait, paraît-il, participé à un mouvement de résistance). Mis à part ses qualités bien identifiées par Samson, elle est également connue pour avoir un nom imprononçable.
La deuxième vient d'un pianiste de la grande époque (ce n'est pas Horowitz mais c'est tout comme) qui, dans ces vieux jours, s'est remis à enregistrer. Un dernier coffret, très varié et caractéristique de la diversité de ses choix musicaux, avant de mourir. La Sonate est issue de ce coffret.
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
OUIStereden a écrit :Bong sang, mais c'est bien sûr, Cherkassky !
Et grâce à ma demande d'achat tu peux emprunter ledit coffret rue Neptune (si tu ne l'as pas déjà fait) !
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]