Mais... il en est de même pour le débutant et il devrait être guidé de la même façon, non ?nox a écrit : Par contre pour le pianiste avancé, pour moi il sera justement capable de tout aussi bien travailler sur les sensations (comme tu le décris bien) dans le cadre des morceaux qu'il travaille.
Maints pédagogues ont souligné que le mouvement contraire était plus aisé à réaliser que le mouvement parallèle. Il y a des arguments qui soutiennent cette idée et d'autres non.nox a écrit : D'après vous, pourquoi ces exercices sont-ils faits de formules aussi basiques, en mouvements parallèles ? Comme pour les gammes : pour que rien ne vienne parasiter le travail, et qu'on puisse se concentrer sur l'absolue égalité aussi bien rythmique que sonore !
Dans un morceau, si on sait comment décomposer en éléments simples (désolé pour la formule qui me rappelle les fractions rationnelles de polynômes ) à travailler isolément (puisqu'ils sont simples) puis à recombiner, on peut progresser efficacement, pas besoin de choses "plus basiques". Mais il faut apprendre comment décomposer et résoudre chaque difficulté technique (gestuelle/sonore) qui peut être mise au jour.