C'est pas une prof de guitare, ça?dominique a écrit : style classe de Geneviève Ibanez au CNR de Boulogne
devenir pianiste
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voilà une page de la mèdiathèque de la cité de la musique qui répertorie les métiers de la musique : http://mediatheque.cite-musique.fr/masc ... formationsLa Tache a écrit :Mmm... beaucoup de questions se posent... J'aimerais bien ajouter les miennes: (j'espère que ça ne sera pas trop en décalage avec le sujet)
Quelles sont les possibilités de métier en étant pianiste?
Quels sont les métiers disponibles en rapport avec la musique (ou/et le son) ?
Oh ***** quel hors-sujet!!
Pour tout instrument d'orchestre, le parcours est simple : cnr, cns (Paris ou Lyon), concours d'orchestre quand une place se libère, et c'est parti pour une carrière de titulaire, souvent doublée d'une carrière d'enseignant. Attention toutefois, le nombre de place est limité. Cela n'empèche pas de faire des concerts en petite formation de musique de chambre pour arrondir les fins de mois. Là, ils ont peut-être besoin d'un pianiste.
Pour les pianistes, point d'orchestre ! Donc, point de carrière. Il reste l'accompagnement, métier très difficile, très technique (lecture à vue de partitions d'orchestre, transposition, effacement total devant LE soliste,...), la musique de chambre, trouver des compagnons, des lieux de répétitions, des engagements, des salles avec piano ...et l'enseignement : passer le DE ou le CA, puis le concours du CNFPT, puis se proposer dans un conservatoire qui a besoin d'un prof. Et là, carrière tranquille.
Sinon, se former en jazz-variété, et faire du studio pour les enregistrements d'album, du piano-bar, si on rencontre un(e) chanteur(se) le suivre dans ses tournées pour la scène.
Pour le métier de soliste international, une seule voix, les concours internationaux, et là, être le meilleur tout simplement.
Bref, bonne chance à tous !
caminante, no hay camino, se hace camino al andar.
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mais l'ecole normale cortot permet de rentrer en masterclass au conservatoire sup de paris, et est accessible sans limite d'age... on passe juste une audition avec un morceau de son choix durant 15'... il faut aussi avoir un sacré niveau en theorie musicale et analyse...
cette ecole me semble pas loin du niveau des CNS de paris et lyon...
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je m'en vais jou-er la ballad-euh , la ballad-euh des gens heu-reux !!! (la n°1 quoi...)
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Oui, à l'Ecole Normale, on trouve des élèves de haut niveau (et de toute nationalité, très peu de français), mais la classe de perfectionnement est sur concours d'accès et la concurrence est rude ! Et cela ne fait que préparer aux concours internationaux. Encore faut-il décrocher un prix ! Et là, il y a limite d'âge.
De toute façon, avant, il faut atteindre ce haut niveau, et on a beau être passionné, ce n'est pas donné à tout le monde ! Cette école, comme les CNSM, ne prend que des pianistes déjà formés et ayant de la "personnalité". On y entre effectivement sur audition (et avec un gros chèque...) mais pas toujours au niveau que l'on croyait ! Et le concours de fin d'année est impitoyable !
Dis-moi, BdGH, tu penses en faire ton métier ? Concertiste ?
De toute façon, avant, il faut atteindre ce haut niveau, et on a beau être passionné, ce n'est pas donné à tout le monde ! Cette école, comme les CNSM, ne prend que des pianistes déjà formés et ayant de la "personnalité". On y entre effectivement sur audition (et avec un gros chèque...) mais pas toujours au niveau que l'on croyait ! Et le concours de fin d'année est impitoyable !
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ben en fait je compte rentrer dans cette ecole... je suis coatché par ma prof qui est une franchement bien dans le milieu et qui a fait le CNSDP...
mais en fait je vais tenter de rentrer en cycle de concertiste mais sans grand espoir... meme si ma prof me dit qu'en travaillant c'est possible... donc deja il faut que je me tape les 2 CBT de bach... Sinon je veux de toute les maniere tenter le cycle de composition car au fond c'est ce qui me corresponderait le plus... mais en meme temps j'aimerai avoir un niveau de concertiste au piano alors la il y a conflit et complementarité ca depend comment je gere... mais dieu que ma vie est ici et pas autre part...
mais en fait je vais tenter de rentrer en cycle de concertiste mais sans grand espoir... meme si ma prof me dit qu'en travaillant c'est possible... donc deja il faut que je me tape les 2 CBT de bach... Sinon je veux de toute les maniere tenter le cycle de composition car au fond c'est ce qui me corresponderait le plus... mais en meme temps j'aimerai avoir un niveau de concertiste au piano alors la il y a conflit et complementarité ca depend comment je gere... mais dieu que ma vie est ici et pas autre part...
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j'en sais rien en fait non plus et je pense qu'il y a des gens bien meilleur que moi mais si je dois travailler d'arrache pied pour rattrapper mon retard et bien je le ferai et si c'est pas suffisant j'aurai au moin pas de regrets... mais je pense que jai plus de chance pour rentrer en composition...
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Sais-tu dans quelle classe ? As-tu déjà rencontré le(a) prof ? Qu'en pense-t-il (elle) ?ben en fait je compte rentrer dans cette ecole...
donc qui connait bien la filière ! Elle vit de son métier de pianiste ? De prof ? Elle te donne des cours en conservatoire, ou en privé ?je suis coatché par ma prof qui est une franchement bien dans le milieu et qui a fait le CNSDP...
[mode indiscret]-elle a une vie de famille ? elle révait être concertiste ? Elle joue encore ? Chez qui elle a travaillé ? Elle a quel âge ? C'est qui ?[/mode indiscret]
je te conseille d'aller écouter les épreuves des concours de fin d'année, salle Cortot, les dates et horaires sont affichés dans le hall de l'école, cela te donnera une idée du niveau demandé, et en plus, tu pourras discuter avec des candidats. (Tu habites sur Paris ?)mais en fait je vais tenter de rentrer en cycle de concertiste mais sans grand espoir... meme si ma prof me dit qu'en travaillant c'est possible...
C'est ce qui me gène le plus dans ton discours ! Si tu veux atteindre le niveau concertiste et faire de la composition, il est sûr que la connaissance de ces recueils ne peut que t'enrichir ! Pourquoi cette réticence ? Cela te parait trop intellectuel et pas assez romantique ?donc deja il faut que je me tape les 2 CBT de bach...
En tout cas, puisque tu as le "feu sacré", il faut que tu ailles au bout de ton désir, pour ne pas passer ta vie à le regretter, je ne sais pas quel âge tu as, mais ça peut être long et coûter cher ! Tu as des gens derrière ?
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j'ai 22 ans et je me suis remis au piano il y a maintenant 1ans... mais la je plaisante plus... "feu sacré" je ne sais pas mais feu passionné a en crever" ca c'est sur !!! Et ca fait 2 mois que j'ai pris cette decision (enfin je sentai ca dès que j'ai decouvert chopin en fait, mais disons que jai osé commencé à en parler il y a 2 mois)
j'ai la chance d'etre issu de ce qu'on appel une famille CSP ++ (quelle classe!) ce qui me permet de ne pas avoir de contrainte financiere pour mon projet... Ne vivant plus chez mes parents ( je suis de Joinville le pont pon pon)j'ai eu un nouveau piano presque tout de suite... j'ai tout de meme beaucoup de chance...
je suis juste allé à l'ecole me renseigné un peu... frais d'audition de 40 € et scolarité pas trop chere ( 2000 € env. pour le piano cours de theorie gratuit...) puis j'ai vu les cycle de composition (cinema, orchestration...) qui m'interesse beaucoup... j'ai vu les concert de 12h et demi a la salle cortot ca a l'air tres bien j'irai prochainement je pense!
Elle a un profil un peu particulier en fait elle a 63 ans et il faut savoir qu'elle a fait le conservatoire de paris à 18 ans puis elle a enchainé 3 doctorat (musicologie, mathematiques et lettres...). Faut pas se le cacher c'est une surdoué bosseuse qui plus ai... elle a fait une carriere de concertiste mais elle du arreter apres des probleme a la main droite... moche... elle a été donc prof a la sorbonne en musicologie et elle est spécialisé dans chopin... elle a fait des recherche en pologne sur sa vie... elle est aussi critique au festival chopin (tous les 5 ans...)
Elle a fais rentrer plusieurs eleve au cnsmp dont une gamine de 14 ans qui a eu la meidaille d'or en composition je crois... il parait que c'est vraiment de la folie! je vais d'ailleurs prendre des cours avec cette jeune fille aussi ( qui a maintenant 18ans ) en harmonie et tout ca...
Ma prof actuelle continura a m'enseigné le piano et ce n'es pas pour me deplaire vu le niveau qu'elle a... de plus elle est intransigeante... mais elle m'a dit que je pourrai y arriver avec beaucoup de travail... elle trouve que je devrais faire composition...
En ce qui concerne les 2 CBT de bach c'est juste que esthétiquement ca ne me plait pas plus que ca... mais plus j'ecoute plus ca me plait ... et c'est vrai ya tellement d'oeuvre de chopin que j'ai envie de jouer que ca m'enerve un peu... mais c'est mon connais rebelle ca !!! je vais m'y plier et je sais que ca finira par me plaire...
j'ai la chance d'etre issu de ce qu'on appel une famille CSP ++ (quelle classe!) ce qui me permet de ne pas avoir de contrainte financiere pour mon projet... Ne vivant plus chez mes parents ( je suis de Joinville le pont pon pon)j'ai eu un nouveau piano presque tout de suite... j'ai tout de meme beaucoup de chance...
je suis juste allé à l'ecole me renseigné un peu... frais d'audition de 40 € et scolarité pas trop chere ( 2000 € env. pour le piano cours de theorie gratuit...) puis j'ai vu les cycle de composition (cinema, orchestration...) qui m'interesse beaucoup... j'ai vu les concert de 12h et demi a la salle cortot ca a l'air tres bien j'irai prochainement je pense!
Elle a un profil un peu particulier en fait elle a 63 ans et il faut savoir qu'elle a fait le conservatoire de paris à 18 ans puis elle a enchainé 3 doctorat (musicologie, mathematiques et lettres...). Faut pas se le cacher c'est une surdoué bosseuse qui plus ai... elle a fait une carriere de concertiste mais elle du arreter apres des probleme a la main droite... moche... elle a été donc prof a la sorbonne en musicologie et elle est spécialisé dans chopin... elle a fait des recherche en pologne sur sa vie... elle est aussi critique au festival chopin (tous les 5 ans...)
Elle a fais rentrer plusieurs eleve au cnsmp dont une gamine de 14 ans qui a eu la meidaille d'or en composition je crois... il parait que c'est vraiment de la folie! je vais d'ailleurs prendre des cours avec cette jeune fille aussi ( qui a maintenant 18ans ) en harmonie et tout ca...
Ma prof actuelle continura a m'enseigné le piano et ce n'es pas pour me deplaire vu le niveau qu'elle a... de plus elle est intransigeante... mais elle m'a dit que je pourrai y arriver avec beaucoup de travail... elle trouve que je devrais faire composition...
En ce qui concerne les 2 CBT de bach c'est juste que esthétiquement ca ne me plait pas plus que ca... mais plus j'ecoute plus ca me plait ... et c'est vrai ya tellement d'oeuvre de chopin que j'ai envie de jouer que ca m'enerve un peu... mais c'est mon connais rebelle ca !!! je vais m'y plier et je sais que ca finira par me plaire...
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Si tu as 22 ans, dépèche toi !
L'an passé, j'en avais 23, j'ai voulu rentrer au conservatoire de Rouen, age limite 23.... Piano ??? ils étaient pliés au secrétariat.
Si tu peux financièrement te présenter en école privée, fais le.
Si tu veux travailler absolument dans la musique, il y a aussi la fac (-> prof en collège....) tu peux aussi passer des exams ou concours pour travailler dans le culturel, et sinon, les écoles associatives prennent sans DE ni CA et tout ce que tu veux bien. C'est assez précaire, mais en faisant des horaires de malade, tu te remplis correctement les poches, et ça permet de te faire connaitre.
L'an passé, j'en avais 23, j'ai voulu rentrer au conservatoire de Rouen, age limite 23.... Piano ??? ils étaient pliés au secrétariat.
Si tu peux financièrement te présenter en école privée, fais le.
Si tu veux travailler absolument dans la musique, il y a aussi la fac (-> prof en collège....) tu peux aussi passer des exams ou concours pour travailler dans le culturel, et sinon, les écoles associatives prennent sans DE ni CA et tout ce que tu veux bien. C'est assez précaire, mais en faisant des horaires de malade, tu te remplis correctement les poches, et ça permet de te faire connaitre.
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Effectivement, BdGH, si tu n'as aucune contrainte financière... tu peux prendre le temps d'apprendre, entouré des meilleurs pros, dans de bonnes structures... mais pour quel métier au bout du compte ? Tu devrais te renseigner parallèlement sur les métiers de gestions et de communication dans les affaires culturelles. Bien connaître le monde de la musique en France actuellement, pour voir quelle place tu as envie d'y prendre...
EDIT j'avais pas vu ton dernier post, effectivement, tu as déjà un bagage !
EDIT j'avais pas vu ton dernier post, effectivement, tu as déjà un bagage !
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Amis passionnés, n'oubliez pas que "devenir pianiste" comme s'intitule le sujet, ne signifie pas forcément en faire son métier.
On peut être pianiste sans en dépendre financièrement.
Je crois même que le statut d'amateur confère à la relation avec l'instrument une pureté, un désintéressement fort enviable.
Je pense qu'après avoir subi les menuets malhabiles d'enfants qui rêvent d'être footballeur ou star de la chanson une journée entière, le soir venu je ne souleverais pas le cylindre avec autant d'avidité.
Le statut tant envié de concertiste même, les heures de répétition qu'il implique et les programmes imposés maintes fois répétés pemet-il de préserver la flamme qui nous pousse vers la musique?
Vivre du piano, c'est accepter que sa passion devienne une contrainte, au moins par moment.
Même lorsqu'on adore son métier, on a besoin sur son temps de loisir de se changer les idées, s'ouvrir d'autres horizons. Si le piano est son métier, il faudra sans doute trouver un autre centre d'intérêt pour nourrir ses loisirs... Ainsi, la relation à l'instrument sera-t-elle peut-être moins exclusive, paradoxalement, que pour l'amateur qui, le soir venu, courra se mettre à son piano.
Je me rappelle un témoignage récent d'un concertiste qui avouait que s'il devait aller sur une île déserte pour le restant de ses jours n'emporterait pas un piano mais une raquette de tennis (si mes souvenirs sont bons).
J'ai deux grands-parents qui étaient musiciens d'orchestre. L'heure de la retraite ayant sonné, il n'ont jamais retouché leur instrument....
On peut être pianiste sans en dépendre financièrement.
Je crois même que le statut d'amateur confère à la relation avec l'instrument une pureté, un désintéressement fort enviable.
Je pense qu'après avoir subi les menuets malhabiles d'enfants qui rêvent d'être footballeur ou star de la chanson une journée entière, le soir venu je ne souleverais pas le cylindre avec autant d'avidité.
Le statut tant envié de concertiste même, les heures de répétition qu'il implique et les programmes imposés maintes fois répétés pemet-il de préserver la flamme qui nous pousse vers la musique?
Vivre du piano, c'est accepter que sa passion devienne une contrainte, au moins par moment.
Même lorsqu'on adore son métier, on a besoin sur son temps de loisir de se changer les idées, s'ouvrir d'autres horizons. Si le piano est son métier, il faudra sans doute trouver un autre centre d'intérêt pour nourrir ses loisirs... Ainsi, la relation à l'instrument sera-t-elle peut-être moins exclusive, paradoxalement, que pour l'amateur qui, le soir venu, courra se mettre à son piano.
Je me rappelle un témoignage récent d'un concertiste qui avouait que s'il devait aller sur une île déserte pour le restant de ses jours n'emporterait pas un piano mais une raquette de tennis (si mes souvenirs sont bons).
J'ai deux grands-parents qui étaient musiciens d'orchestre. L'heure de la retraite ayant sonné, il n'ont jamais retouché leur instrument....
Modifié en dernier par Dirlopiano le dim. 23 avr., 2006 11:49, modifié 1 fois.
- volute
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Je suis entièrement de ton avis, Dirlopiano
J'avais eu exactement les mêmes réflexions au sujet de la peinture : devais-je essayer d'en vivre ? Qu'est-ce que celà impliquait ? Le "milieu de l'art" était-il fait pour moi ? Avais-je le niveau ?
J'ai plein d'ami(e)s qui faisaient leurs études artistiques, et qui m'expliquaient que le soir venu, il était hors de question de prendre un pinceau : plus d'inspiration, ras le bol, etc. Et tous ces gens là ne devaient même pas payer leur loyer avec le revenu de leur travaux.
J'ai également rencontré des artistes qui vivaient de leur travail, et leur vie ne m'a pas fait envie. Trop de compromissions, trop de galères, ...
Enfin, la concurrence acharnée au sein du milieu artistiqe n'est pas faite pour moi qui n'ai pas ed dents de requin.
Donc mon avis perso est que c'est bien qu'une passion reste une passion, pour qu'elle puisse continuer à brûler librement et à faire vivre celui qui l'abrite.
=^.^=
J'avais eu exactement les mêmes réflexions au sujet de la peinture : devais-je essayer d'en vivre ? Qu'est-ce que celà impliquait ? Le "milieu de l'art" était-il fait pour moi ? Avais-je le niveau ?
J'ai plein d'ami(e)s qui faisaient leurs études artistiques, et qui m'expliquaient que le soir venu, il était hors de question de prendre un pinceau : plus d'inspiration, ras le bol, etc. Et tous ces gens là ne devaient même pas payer leur loyer avec le revenu de leur travaux.
J'ai également rencontré des artistes qui vivaient de leur travail, et leur vie ne m'a pas fait envie. Trop de compromissions, trop de galères, ...
Enfin, la concurrence acharnée au sein du milieu artistiqe n'est pas faite pour moi qui n'ai pas ed dents de requin.
Donc mon avis perso est que c'est bien qu'une passion reste une passion, pour qu'elle puisse continuer à brûler librement et à faire vivre celui qui l'abrite.
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Entièrement d'accord avec vous, Dirlo et Volute, mais en l'occurence, je répondais au questionnement de personnes qui veulent en faire leur métier ! (Virtuoza, BdGH, et question de la tache.).
Mener de front une vie professionnelle et le piano à haut niveau se révèle quand même difficile au niveau du temps que cela demande. Comme vous le savez, travailler son piano le soir après une journée de travail n'est pas chose aisée (fatigue, manque de concentration...) et retire du temps consacré à sa(on) compagne(on). Il est difficile de trouver un bon équilibre, et je pense que l'enseignement, quand on aime ça, est une bonne formule.
Pour ce qui est des musiciens d'orchestre, Dirlo, j'ai la même expérience que toi, tous mes collègues que j'ai vu prendre leur retraite après une vie d'orchestre ont déposé leur instrument avec soulagement, sauf quand même qqs exeptions de certains qui continuent dans des formations d'amateurs.
Il n'empèche qu'arriver à un haut niveau n'est pas donné à tout le monde, quelque soit la passion que l'on met dans son travail. Je pense à ce canadien qui a remporté le prix des grands amateurs et qui parallèlement continue ses études de chirurgien dentiste, à son âge, on peut dire qu'il n'a pas perdu de temps, et qu'il devait être passablement doué à la base ! (et bien entouré !)
Mener de front une vie professionnelle et le piano à haut niveau se révèle quand même difficile au niveau du temps que cela demande. Comme vous le savez, travailler son piano le soir après une journée de travail n'est pas chose aisée (fatigue, manque de concentration...) et retire du temps consacré à sa(on) compagne(on). Il est difficile de trouver un bon équilibre, et je pense que l'enseignement, quand on aime ça, est une bonne formule.
Pour ce qui est des musiciens d'orchestre, Dirlo, j'ai la même expérience que toi, tous mes collègues que j'ai vu prendre leur retraite après une vie d'orchestre ont déposé leur instrument avec soulagement, sauf quand même qqs exeptions de certains qui continuent dans des formations d'amateurs.
Il n'empèche qu'arriver à un haut niveau n'est pas donné à tout le monde, quelque soit la passion que l'on met dans son travail. Je pense à ce canadien qui a remporté le prix des grands amateurs et qui parallèlement continue ses études de chirurgien dentiste, à son âge, on peut dire qu'il n'a pas perdu de temps, et qu'il devait être passablement doué à la base ! (et bien entouré !)
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