J'ai eu un mal fou à trouver la partition de cet Andante, blacklistée sur Internet, finalement trouvée chez... Pianomajeur !

Requête recherchée : +OLAFSSON
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Je ne sais pas, je vais étudier la question un de ces quatre..quazart a écrit : ven. 21 juin, 2019 0:40Je ne vois pas bien en quoi cette version diffère de celle de BusoniJacques Béziat a écrit : jeu. 20 juin, 2019 10:34 Pendant que j'y suis, à nouveau Olafsson avec le choral BWV 734, ce pianiste que je découvre est vraiment excellent, même si cette virtuosité est loin du choral d'origine, on a affaire à une transcription complètement adaptée aux possibilités du piano, qu'on doit à Kempff , la vache comme c'est beau, enfin c'est mon ressenti :![]()
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Je ne vois pas bien en quoi cette version diffère de celle de BusoniJacques Béziat a écrit : jeu. 20 juin, 2019 10:34 Pendant que j'y suis, à nouveau Olafsson avec le choral BWV 734, ce pianiste que je découvre est vraiment excellent, même si cette virtuosité est loin du choral d'origine, on a affaire à une transcription complètement adaptée aux possibilités du piano, qu'on doit à Kempff , la vache comme c'est beau, enfin c'est mon ressenti :
OK, les goûts, toussa...jean-séb a écrit : jeu. 20 juin, 2019 14:55
Eh bien, moi, j'aime bien, les yeux fermés. J'aime aussi celle d'Olafson, évidemment très différente ; je crois que selon les jours, les heures, mon humeur, je peux préférer l'une ou l'autre.
Le BWV 734 d'Olafson est merveilleux, presque un poil trop rapide, mais on admire le beau choral qui s'élève sur ce crépitement de notes. Totalement inatteignable pour moi à cette vitesse au piano. Siloti me convient mieux !
J'en ai justement écouté quelques unes hier que je voulais proposer ici don't celle-ci justementamalfi a écrit : jeu. 20 juin, 2019 16:23 Le disque d'Olafsson était disque de la semaine sur FIP l'automne dernier, c'est là que je l'ai découvert. Et la pièce maîtresse est à mon avis la BWV 528, magnifique tout du long (avec une petite réserve sur l'enregistrement qui met trop en avant les basses, surtout en deuxième partie de morceau). Quelle légèreté puis quelle assurance, Olafsson est un merveilleux pianiste, et ce morceau une vision de l'harmonie universelle que Bach sait si bien sculpter. Et magnifiquement transcrite par Stradal.
J'ambitionne, depuis cet hiver, d'en jouer un jour quelques mesures, pourquoi pas la première moitié de cette sonate![]()
Pour aller dans ton sens, je crois que les Nordiques savent aller à l'essentiel et se débarrasser du superflu, c'est ce que j'entends et qui me plaît énormément chez des pianistes classiques comme Jouni Somero ou Vikingur Olafsson mais aussi chez E.S.T ou Tord Gustavsen Trio dans le jazz...et c'est ce qu'on ressent lorsqu'on contemple les paysages nordiques également, cette magnificence brute, austère, directe et puissante, que les pianistes savent retranscrire dans leur jeu et qui va si bien à ce Bach. J'ai été bluffé également par son interprétation de la Marche Solennelle vers le Saint Graal de Parsifal (Wagner/Liszt) mais je n'ai pas de lien à proposer pour l'écoute...Christof a écrit : jeu. 23 mai, 2019 19:08 C'est drôle, j'ai l'impression que les nordiques ont un touché vraiment particulier. Cela me fait penser aux pianistes "venus du froid" que pianojar adore nous faire découvrir dans le fil jazz.
Comme moi, je ne commente pas forcément tes textes si riches et précieux, mais j'essaie de les lire...et j'ai du retard sur Cziffra notamment...Christof a écrit : jeu. 23 mai, 2019 19:08 (Et si je ne mets pas toujours de message, j'écoute à chaque fois avec attention tout les morceaux que tu postes. J'ai un peu de retard, il faut que j'aille voir tout ce que tu as joué à Beuvray)