Gro192 a écrit :mais je soutiens les pianos droits qui me semblent dignes d'intérêt, même dans de très hauts budgets: Bösendorfer, Steingraeber, Blüthner, Grotrian-Steinweg (non, je ne citerai pas Bechstein, n'insistez pas!!!!!
).
Après, Sauter et Steinberg, c'est personnel, mais j'évite! Je leur préfère volontiers Schimmel...
Bonjour,
Je ne suis pas vraiment d'accord avec ce classement.
Déjà il est rare de mettre Blüthner en avant : il font des pianos avec un bon son mais sans plus...De plus je ne vois pas beaucoup de gens sur le forum vanter les Blüthner.
Pour C. Bechstein je ne suis pas d'accord => Qu'on ne les aime pas je peux comprendre mais ils ont toute leur place en toute objectivité : il faut que le piano soit très bien accordé et préparé.
On oublie aussi les Steinway droits de Hamburg qui sont parfois magnifiques. On oublie aussi que la plupart des brevets déposés pour le piano droit actuel tel qu'on le connait aujourd'hui est du à Steinway & Sons.
Steinway a déposé depuis sa fondation en 1853 plus de 100 brevets.
Bösendorfer : n'exagérons rien: j'ai testé un 120 droit et il était très bien préparé mais il était très très médiocre!
Et pour Sauter et Steinberg, je ne suis pas d'accord
n fait de très très beaux pianos dans ces marques.
PS: vu sur le site
http://www.technics-sons.com/piano-stei ... technique/:
Quelques brevets Steinway & Sons:
Les secrets de l’excellence
Table d’harmonie: Brevet n° 2051633 ( 18 août 1936 ). La table d’harmonie est conçue selon le principe d’une membrane. L’amincissement tout particulier du profil vers les bords permet d’obtenir une souplesse maximale, tout en favorisant la propagation des vibrations à l’ensemble de la table.
Chevalet: Brevet n° 233710 ( 26 octobre 1880 ). Le chevalet communique les vibrations des cordes à la table d’harmonie. Sur un Steinway, le chevalet, composé de lamelles collées verticalement, n’entrave nullement la propagation des vibrations, qui s’effectue ainsi dans les meilleures conditions.
Mécanique: Brevet n° 93647 ( 10 août 1869 ). La mécanique d’un Steinway transmet fidèlement chaque impulsion du clavier aux cordes. L’armature de la mécanique, avec ses tubes métalliques à âme de bois, y joue un rôle prépondérant. Grâce à elle, en effet, l’ensemble de la mécanique agit avec précision et sans perte d’énergie notable. Le pianiste peut ainsi idéalement contrôler et nuancer son jeu.
Cadre métallique: Brevet n° 127383 ( 28 mai 1872 ). Sur un Steinway, le cadre métallique repose sur des chevilles en bois, sans toucher la table d’harmonie. Comme il est légèrement galbé, le volume de la cavité qui le sépare de la table d’harmonie est d’autant plus important. C’est dans cette cavité que les vibrations s’amplifient. Le cadre métallique a en outre pour fonction de supporter les 20 tonnes de traction des cordes.