Le problème dans cette version, c'est que c'est lent...et lourd surtout.
Merci jean-séb pour l'ajout.
Merci Strumpf et mh_piano pour vos retours et votre écoute.
Le problème dans cette version, c'est que c'est lent...et lourd surtout.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Gribo%C3%AFedovmais peu après son arrivée à Téhéran, une foule de fanatiques assaille l'ambassade russe. Griboïedov, ainsi que la quasi-totalité du personnel, est assassiné, le 30 janvier 1829, et son corps est si maltraité pendant trois jours par la foule qu'il ne peut être reconnu que grâce à une cicatrice sur une de ses mains, souvenir d'un duel.
Tout à fait ! insignifiant mais sympathique...
Oui, il le joue vraiment façon Music Box (oh...désolé jean-séb...façon boîte à musique ) avec une légèreté incroyable, et je pense que ça fait partie du jardin secret des grands pianistes de ne pas forcément dévoiler pourquoi ils jouent telle ou telle pièce en bis...peut-être que cette pièce est liée à des souvenirs d'enfance de Sokolov, qu'elle lui rappelle des membres de sa famille ou je ne sais quoi...bref, il y a sans doute plus une raison sentimentale que rationnelle dans ce choix....ou peut-être tout simplement qu'il la joue parce qu'il l'aime particulièrement...
J'espère que tu nous feras partager ta vision de l'insignifiancejean-séb a écrit : ↑ven. 29 mars, 2019 17:07 Je viens d'écouter la version de Sokolov à Madrid, que je ne connaissais pas. C'est vrai que c'est très délicat, et pas vraiment "music box" (!) à mon oreille, justement parce que c'est très délicat et non mécanique, mais je vois ou j'entends ce que tu veux dire. Bon, j'ai téléchargé les deux valses de Griboïedov car l'insignifiance est un peu ma tasse de thé !
Pas de souci, j'aime bien profiter de tes vidéos aquariumSpianissimo a écrit : ↑mer. 01 mai, 2019 19:40 Version aquarium d'un morceau que je dois jouer à Beuvray...
Merci pour cette découverte ! Et c'est joué avec délicatesse.Spianissimo a écrit : ↑jeu. 23 mai, 2019 11:28 Bonjour, voici un petit enregistrement de la Chanson Triste de Kalinnikov