Les "délires" de l'inharmonicité

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piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Je fais remonter celà à la surface ... Celà explique pas mal de chose sur la perception des sons inharmoniques par l'oreille .

A mettre impérativement en rapport avec le fil sur l'oreille absolue ! LA
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Je reprécise que l'oreille absolue reste conditionnée à une certaine forme d'accord . C'est à dire :

Si la personne , dotée de cette particularité auditive , s'est conditionnée à un accord de piano peu ou pas dilaté (cas d'octaves plates) tout accord qui , aux distortions près dues à l'inharmonicité s'en éloigne , sera jugé par elle médiocre ou faux . De plus l'oreille absolue fait abstraction (pour la plupart des sujets) des variations de timbre produites par les variations d'accord , son attention se focalisant quasi automatiquement sur les décallages de hauteur des extrêmes du clavier ... Plus l'accord produit par le technicien se rapproche de son "accord" mémorisé , moins les décallages , qui existent toujours d'un piano à l'autre , seront perçus par "l'absolutiste"... Surtout vers les aigus , tessiture que l'accordeur peut tricher avec de grosses variantes ... pour les basses : pas grand'chose à faire , l'inharmonicité y est despotique , et si l'on tombe sur un piano mal construit ou mal conçu , le piano ne sera JAMAIS JUSTE pour un "absolutiste" et ce quel que soit le système d'accord employé à moins de tricher les octaves tantôt à battements rapides par excès (à la rigueur :roll: ) tantôt à battements par défaut (le pire #-o ) ... :|

Pour une personne à l'oreille relative ces problèmes disparaissent , ces sujets pouvant percevoir (et y voient un intérêt musical si celà améliore les hauteurs perçues et les qualité de timbre) l'enrichissement ou non de la sonorité globale suivant l'accord employé

Je me suis rendu compte de ces différences de perception par la manière dont l'accord est jugé par les "absolutistes" et les "relativistes" :
- Les premiers jouent les notes aigues et basses seules et disent "c'est bon" ou "c'est trop haut"
- Les seconds font des arpèges d'accords ou d'octaves , comparent avec le médium ...

Jamais un "absolutiste" n'a l'idée de comparer les extrêmes ensembles ou avec le médium ... JAMAIS :roll:
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Viens de trouver celà sur wikipédia ... Très instructif mais quelques jugements à l'emporte-pièce qui tendent à montrer que l'auteur n'est pas accordeur ... :mrgreen: Se fie uniquement à qq avis qui n'ont pas forcément valeur d'autorité :roll:

L'auteur tombe dans le panneau habituel , récurrent , qui ignore superbement le divorce cruel mais bien réel entre :
- Justesse fréquentielle
- Justesse acoustique
- Justesse musicale
divorce entretenu par l'existence de l'inharmonicité et des propriétés de l'oreille humaine qui lui sont combinées . C'est ainsi que , se fiant aux seuls dires d'un célébre accordeur parisien et d'un ingénieur (lequel se reporte trop sur quelques "on dit" qu'il ne prend pas la peine de vérifier) , il peut écrire qu'il ne faut pas (acoustiquement parlant , mais il omet de le préciser ... :wink: ) d'agrandir les octaves graves ... Moi je veux bien ... Dans ce cas c'est faire abstraction du fait que les basses sont riches en partiels audibles et que par conséquent du fait de l'inharmonicité de cette tessiture (qu'il mimise :P ) les notes paraissent légèrement plus haute ... c'est ainsi . En regard , les notes aigues qui , au fil que l'on s'achemine vers les extrêmes s'appauvrissent en partiels audibles , paraissent en conséquence d'autant plus basses que leur inharmonicité forte ne le laisserait supposer .
De ces deux derniers constats il apparait clairement que musicalement et donc auditivement l'inharmonicité toujours combinée aux propriétés de l'oreille humaine , contracte obligatoirement la justesse relative de ces deux tessitures ... Et celà l'auteur LA l'ignore totalement ... #-o Il suffit d'accorder un piano avec des octaves absolument plates (acoustiquement pures mais déjà plus grandes fréquenciellement =P~ :P :mrgreen: ) du grave à l'aigu pour s'en convaincre ! ... 8)
Modifié en dernier par piano bien tempéré le dim. 24 févr., 2008 22:47, modifié 1 fois.
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

On peut lire , toujours de cet auteur , le texte suivant qu'il a d'inséré dans l'article wikipédia consacré au tempérament "cordier" :

"L'inharmonicité des cordes de piano est négligeable dans le grave, mais elle est très marquée dans l'aigu. Un piano bien accordé tient compte de cette inharmonicité : voir Inharmonicité du piano. Une échelle uniforme, quelle qu'elle soit, ne peut pas convenir à la fois dans l'aigu (nécessité de dilater fortement l'échelle) et dans le grave (nécessité de ne pas dilater du tout l'échelle). L'exactitude des octaves du grave est nécessaire pour obtenir toute l'amplitude des accords d'octave qui, sans cela, serait diminuée par l'effet des battements. Aucun effet psychoacoustique ne demande de jouer plus bas les notes graves : l'échelle de Mel ne concerne que les sons de fréquences élevées. Des quintes accordées sans battement, dans l'aigu d'un piano, ne sont pas du tout des quintes pures, car les battements concernent, dans la quinte, le partiel 3 d'une note et le partiel 2 de l'autre : ces partiels sont tous deux fortement affectés par l'inharmonicité dans l'aigu. Un violon s'accorde en quintes pures, mais, sauf à n'utiliser que ses quatre cordes à vide, joue dans n'importe quel tempérament pour toutes les autres notes. Pour les instruments à vent, une échelle en quintes pures conduirait à des tierces majeures encore plus grandes que dans le tempérament égal. Le son résultant serait beaucoup trop haut et, dans tous les cas où on entend ce son différentiel (voir : Justesse des tierces), la tierce majeure sonnerait vraiment faux, d'une façon rédhibitoire."

A lire comme ça : bon pourquoi pas ...
Modifié en dernier par piano bien tempéré le jeu. 03 avr., 2008 1:34, modifié 1 fois.
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Je décortique le texte
"L'inharmonicité des cordes de piano est négligeable dans le grave, mais elle est très marquée dans l'aigu"
L'inharmonicité n'est pas négligeable dans toute l'étendue des 88 notes d'un piano même si elle est plus faible dans les basses sur les très bons pianos à queue ... Ne jamais perdre de vue que l'oreille juge la hauteur des notes par une espèce de jaugeage des écarts entre les partiels , lesquels par définition ne sont pas équidistants et de ce fait l'oreille perçoit un son légèrement plus hauts que un autre son , de même fréquence , harmonique cette fois . On a déjà vu plus haut que celà n'était pas sans conséquence ... J'y reviendrai .
"Une échelle uniforme, quelle qu'elle soit, ne peut pas convenir à la fois dans l'aigu (nécessité de dilater fortement l'échelle) et dans le grave (nécessité de ne pas dilater du tout l'échelle)."
Pour la première proposition on ne peut être que d'accord ... Mais pour la suite celà se gâte : "nécessité de dilater fortement l'échelle" .... Qu'est-ce que celà veut dire ? La dilatation fréquencielle existe quoi qu'on fasse à moins de faire battre les octaves à l'envers donc dès que l'on fait de l'octave plate c'est déjà fréquenciellement plus grand !
"L'exactitude des octaves du grave est nécessaire pour obtenir toute l'amplitude des accords d'octave qui, sans cela, serait diminuée par l'effet des battements"
Là on marche carrément sur la tête ! L'expérience prouve que lorsqu'on accorde l'octave parfaitement plate dans les graves le fondamental s'éteint ! Lorsqu'on dilate acoustiquement légèrement l'octave le fondamental émerge , prend de l'ampleur ! ... De plus quelles sont les valeurs "cordier" ? Sur Fa1-Fa2 on est à 0,3 battement par seconde ! A 0,15 sur Fa0-Fa1 ! A t-il seulement entendu ce genre de "battement" ?
Au contraire une légère dilatation augmente l'ampleur sonore de ce registre qui reste étriqué si on s'en tient à de l'octave acoustiquement pure ! De plus il emploie le conditionnel ... on croit rêver ...
"Aucun effet psychoacoustique ne demande de jouer plus bas les notes graves : l'échelle de Mel ne concerne que les sons de fréquences élevées"
Beau détournement de sens ! L'echelle de Mel ne concerne que les sons sinusoïdaux donc dépourvus d'harmoniques ... De plus ... relire ce que j'ai écrit plus haut à propos de la "balance" de justesse entre graves et aigus #-o :

"Dans ce cas c'est faire abstraction du fait que les basses sont riches en partiels audibles et que par conséquent du fait de l'inharmonicité de cette tessiture (qu'il mimise ) les notes paraissent légèrement plus hautes ... c'est ainsi . En regard , les notes aigues qui , au fil que l'on s'achemine vers les extrêmes s'appauvrissent en partiels audibles , paraissent en conséquence d'autant plus basses que leur inharmonicité forte ne le laisserait supposer .
De ces deux derniers constats il apparait clairement que musicalement l'inharmonicité toujours combinée aux propriétés de l'oreille humaine , contracte obligatoirement la justesse relative de ces deux tessitures ... Et celà l'auteur l'ignore totalement ... Il suffit d'accorder un piano avec des octaves absolument plates (acoustiquement pures mais déjà plus grandes fréquenciellement ) du grave à l'aigu pour s'en convaincre ! ..."

On lit parfois des choses curieuses sur wikipédia ... :roll:
Modifié en dernier par piano bien tempéré le jeu. 03 avr., 2008 1:37, modifié 7 fois.
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La440
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par La440 »

Pourquoi ne pas corriger son texte directement sur wikipédia?

Après tout c'est le but de cette encyclopédie en ligne. :)
Je vous laisse, j'ai ma clé d'accord qui refroidit...
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Très juste ! Je pense que je vais m'y atteler ! Mais je vais d'abord laisser passer l'orage interne qui me mine pendant qq jours , pour rester courtois ... Sinon je vais me faire virer avant même d'y entrer ... :oops:
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BM607
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par BM607 »

C'est dommage, d'un point de vue du profane il avait l'air pas mal cet article. Clair, des graphiques, et documenté.

Il faudrait que tu le corriges aux endroits ad'hoc (puisque c'est le principe de Wikipédia).

BM

Edit : grilled par LA !! J'avais pas vu, j'étais occupé à lire l'article !
Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira.
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piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Ah mais ... dans l'ensemble l'article sur l'inharmonicité des cordes est rigoureux ! Mais certaines des conclusions qu'il en tire sont partielles et partiales ... Ignorer la balance de perception sur un piano (en raison de la structure évolutive en partiels) des sons entre graves et aigus est tout de même largement lacunaire ! ...
Modifié en dernier par piano bien tempéré le lun. 11 févr., 2008 22:12, modifié 1 fois.
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egtegt
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par egtegt »

Il souléve tout de même un problème de l'accord cordier : cet accord se base sur les quintes et l'accord d'une quinte se fait sur les harmoniques 2 et 3 alors que l'accord d'une octave se fait sur les harmoniques 1 et 2. Or les harmoniques 2 et 3 sont bien plus sensibles à l'inharmonicité de façon assez logique.

Ca ne veut pas dire que cet accord est moins bon ni meilleur que l'accord sur les octaves mais ça explique qu'il soit un peu plus difficile à mettre en oeuvre, en particulier sur les pianos avec une grande inharmonicité et surtout sur les pianos de mauvaise qualité ayant une inharmonicité irrégulière.

Décidément, il va vraiment falloir que je m'achète une clef d'accord et que je m'amuse un peu :)
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

egtegt a écrit :Il souléve tout de même un problème de l'accord cordier : cet accord se base sur les quintes et l'accord d'une quinte se fait sur les harmoniques 2 et 3 alors que l'accord d'une octave se fait sur les harmoniques 1 et 2. Or les harmoniques 2 et 3 sont bien plus sensibles à l'inharmonicité de façon assez logique.
Mais c'est précisément pour celà que la répartition des distortions dues à l'inharmonicité est meilleure ! :wink:
Je vais réexhumer mes paperasses dans lesquelles Serge Cordier a recalculé son tempérament en tenant compte de l'inharmonicité de deux pianos différents :
- Steinway D
- Rameau 114
Calculs dont j'avais déjà fait état page 1 de ce fil ...
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

BM607 a écrit :C'est dommage, d'un point de vue du profane il avait l'air pas mal cet article. Clair, des graphiques, et documenté.
Ceci me semble plus sérieux :

"Les cordes aigües sont si tendues et dures qu'elles produisent peu de partiels, au
contraire des cordes basses filées, qui en produisent plus tout en évitant les partiels
dissonants les plus aigus (McFERRIN 1972:45), au moins sur les pianos à queue. Des
expériences ont montré que la fondamentale peut être couverte par l'un des partiels
(ibid., et voir aussi plus loin) , ce qui n’empêche pas l’oreille de percevoir le son à la
même hauteur que cette fondamentale (phénomène du résidu ) (RISSET 1978b). Cette
perception perd toutefois de sa netteté à mesure que le partiel dominant s’éloigne de la
fondamentale et qu’augmente le coefficient d’inharmonicité, comme c’est le cas pour
les notes les plus graves"

Trouvé page 6
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

BM607 a écrit :C'est dommage, d'un point de vue du profane il avait l'air pas mal cet article. Clair, des graphiques, et documenté.


Peut-être mais ils sont incomplets !
Modifié en dernier par piano bien tempéré le jeu. 03 avr., 2008 1:38, modifié 1 fois.
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

En réalité je soupçonne l'auteur d'avoir volontairement expurgé les relevés de fréquences des deviations des basses pour que celà cadre avec ses conclusions et les "recommandations" de D.Magne ... Du reste j'attends une réponse de sa part suite à une question posée dans la partie "discution" de l'article ...

Lesquels relevés ne font que donner une idée des déviations mais ne montrent nullement les valeurs numériques (nombre de bats/sec) des étirements acoustiques (par mise en place d'octaves battantes par excès) réalisés par les accordeurs ...

De plus l'auteur en "bon physicien" ne retient que les rapports de fréquences comme valides pour déterminer la valeur pure ou tempérée d'un intervalle ou du système tout entier ... Ce qui en présence d'inharmonicité n'a plus aucun sens !

Pour lui , et implicitement , un tempérément ne peut être égal qu'à partir du moment où l'octave correspond au rapport de fréquence 2 et affirme que les accordeurs ne font que des octaves sans battement :"Lorsque l'accordeur de piano reporte la partition qu'il vient de réaliser sur l'octave initiale en l'étendant à tout le clavier aux moyen d'octaves sans battements" ... L'agrandissement fréquenciel n'étant donc , pour lui , qu'une conséquence "mécanique" inévitable et "malheureuse" de l'inharmonicité ... Quel bordel ! ... #-o
Modifié en dernier par piano bien tempéré le mar. 22 juil., 2008 20:28, modifié 1 fois.
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

piano bien tempéré a écrit :En réalité je soupçonne l'auteur d'avoir volontairement expurgé les relevés de fréquences des deviations des basses pour que celà cadre avec ses conclusions et les "recommandations" de D.Magne ... Du reste j'attends une réponse de sa part suite à une question posée dans la partie "discution" de l'article ... Sur wikipédia ... NDLR
J'attends toujours sa réponse ... :roll:
piano bien tempéré
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

En attendant écoutez les variations de hauteur d'une même note (même fréquence du son fondamental)

Sans inharmonicité :

Avec inharmonicité moyenne : Ici

Avec inharmonicité forte : Encore là

Exemples ne laissant planer aucune ambiguïté quant aux effets perturbateurs de l'inharmonicité sur la perception de la hauteur des sons par l'oreille :wink: Et dynamitant du même coup le sacro-saint attachement aux rapports de fréquences censés expliquer et quantifier la justesse musicale :^o
Modifié en dernier par piano bien tempéré le jeu. 06 mars, 2008 1:13, modifié 1 fois.
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Si vous n'entendez aucune différence entre les 3 exemples ... #-o consultez un ORL :wink:
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

Eh bien ... A priori les lecteurs éventuels de cet article font la sourde oreille ! ... Ou n'osent-ils pas se prononcer sur cet intéressant exercice comparatif ? ...
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par piano bien tempéré »

:mrgreen: Alors les enfants ? ... on a peur de se "mouiller" :^o
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egtegt
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Re: Les "délires" de l'inharmonicité

Message par egtegt »

Que veux tu qu'on t'en dise ? Si tu attends une réponse, alors pose une question :)

Sinon, ça fait un petit bout de temps que j'ai envie de faire des mesures sur mon piano, avec audacity, tu peux avoir le spectre d'une note jouée, j'aimerais bien mesurer les valeurs sur le mien. Faut juste que je trouve le temps mais je vous tiendrai au courant.
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