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Programme de concours Chopin Etude /Bach CTB ? : sans réfléchir, j'aurai envie d'associer ces deux opposés : CBT 1er Livre, P&F mi mineur, éxécuté à la "carnivore" comme Richter (me fiche que la fugue soit qu'à 2 voix), mais en jouant la fugue comme prélude et le prélude comme principa...

Bon sang, y s'en passent des psychodrames sur ce forum. Mince j'ai loupé les épisodes croustillant... Bon, j'ai flashé sur : Je suis désolée d'avoir posté ce sujet, j'avais oublié que le forum avait changé depuis 1 ou 2 ans. Je ne veux ni me prendre pour une philosophe... et je ne suis pas manipulat...

Je n'osais pas espérer ton intervention... et moi je n'osais pas espérer qu'il encore quelques fougueux durs-à-cuire pour se remettre à cette redoutable oeuvre et à en reparler ici sans vergogne. C'est super ! Je participe pas beaucoup mais je lorgne quand même, avec le temps, on fini par s'attache...

Là je suis dépassé, car je ne vois vraiment pas où est le problème dans ce passage qui est justement pour moi le moins incomfortable du finale, sinon le + facile. Je fais un peu comme Nox : 1 2 3 / 4 5 4 1 / 3 4* 3 2 / 1 ... avec le 4 là *. L'enchainement 4-2 de la version A me ferai frotter au fa# ...

Peut-être dans :
Les gestes et la pensée du pianiste / Loyonnet, Paul. - Montréal, ed.1985 . - 226 p. - ISBN 2-89239-017-6
? un livre qui me manque justement
ou dans ses "Souvenirs d'un pianiste de son temps"... ?
En tout cas, André, ce texte est bien à propos.

A partir de quel moment peut-on considérer qu'on a "terminé l'étude", l'apprentissage d'un morceau ? Quand on a compris pour-quoi on l'a entreprit - ou pourquoi on on peut avoir eu tord de le faire aussi parfois : Quelqu'un (de brillant) a réussit à me faire bailler récemment en jouant la...

Je sais bien que des heures de traval m'attendent. Le temps perdu ne se rattrappe pas. Mais je sais que le plaisir de jouer (même mal) est présent. Deux certitudes : 1. Le plaisir de jouer "même mal", n'est pas longtemps un plaisir 2. Le temps perdu se ratrappe ( un certain Marcel l'a dém...

Rachma, tu peux toujours envoyer pour évaluer l'ampleur de l'ouvrage.

Un ami me répète souvent que savoir gérer sa feignantise - ou ménger ses ressources - est une preuve d'intelligence. Nous savons bien qu'il n'y avait pas d'imbécilité sous ta question, chère Louna, mais p'tet un p'tit manque d'assurance qui pointe de tant à autre... Pour Sanctamaria, transposer à vu...

Louna est prise de flemmingite : trois notes qui se battent en duel avec trois arpèges, on peut transposer çà à la quarte ou à la quinte à vue non ? C'est ce qu'on demande en premieres années de piano sur du microkosmos dans not' conserverie du coin...
D'un chien !

Succulent. Celà fait envie. Munis de tous ces conseils méthodiques - l'auteur parle t-il en connaisseur ? -, je me proposais de tricher à mon tour de ce pas sans vergogne, de me vautrer bille en tête dans la basse fraude et la falsification grossière,... mais en bon feignant je me dis qu'il est fina...

Sur le travail legato du stacc. et staccato du leg, ou piano du forte, ou transposé au grave de l'aigu, ou encore rythmé de ce qui ne l'est pas, etc. il s'agit simplement de dire : pour maîtriser un objet donné, on a besoin de l'analyser sous différents points de vue, sous différents paramètres. D'o...

En réécoutant ces enregistrements de SergueÏ, je m'aperçois soudain de la parentée d'inspiration avec les interprètations singulières de Samson François, ( sans doute un autre piètre individu s'il en fut !) : ces pianistes sont encore d'un temps où la musique est un discours (et on parlait en politi...

Choix de morceau : un morceau de choix ! En tout cas j'ai bien ri en lisant ces dialogues : les uns et les unes qui s'échinent à racler les ultimes fonds de tiroir du répertoire, et Mamzelle Coquette qui fait des mouais, des bof, mouarf, faut vouaarrre. On pourrait en faire un plagiat de "Comic...

Marrant que tu parle du Tombeau de Couperin, je l'ai rejoué hier pour la première fois depuis bien longtemps - sauf la fugue qui me barbe - et en arrivant à la Toccata, cette fois, je me suis accroché et l'ai à peu près enchainée complètement (j'avais jamais fini son étude à fond, quand j'étais à l'...

Bon, juste un petit remerciement à Olek, André et autres pour leurs conseils ou reflexions. J'ai presque réglé mon problème pour l'immédiat. Non, c'est très faisable avec un peu de soin : reste q'un mécanisme aussi simple - presque primitif - qu'un étouffoir peut se révéler étonnament complexe à ren...

J'ai banalement un étouffoir qui n'étouffe plus complètement après un pianissimo, voir un p, et laisse une des trois cordes (la droite) vibrer baveusement. D'ordinaire je répare ce type de petit problème (rare) entre deux visites de mon accordeur, mais là il résiste. Pas d'usure ni de déformation no...

C'est très loin dans ma mémoire, mais il me semble avoir joué deux fugues pour 2 claviers parmi celles de L'Art de la fugue.
Me trompe-je, flemme d'aller vérifier.

Sinon pour "ne pas forcer la dramatisation", c'est vrai, mais c'est tellement difficile! Tellement difficile, oui, je sais bien. C'est pourquoi j'applaudis de bon coeur. Dans cette étude, moi-même je n'arrive pas à me caler physiquement, j'ai des reflexes trop classiques chopiniens avec d...

Bon, faut quand même saluer la performance de Rachma dans cette étude ! Bien que les conditions d'écoute soient assez pénible... (l'enregistrement, sans doute, l'accord du piano ? je l'entend moyennement juste.) Reste que je ne retrouve toujours pas ce que j'aime dans cette pièce tour à tour ténébre...